Des élections peut attendues
A environ neuf mois des élections au Cameroun, le choix du candidat qui prendra la tête du pays est difficile voir même impossible pour les jeunes camerounais qui veulent vraiment s'impliquer. Sur 253 partis politiques, Aucuns partis ne sait encore prononcé, ni gagné le cœur des populations. La majorité des jeunes que nous avons approché affirme qu'ils ne sont pas inscrits malgré le déploiement d'une commission de sensibilisation avec l'appui de Élection Cameroun(EleCam). "Je ne vois pas pourquoi j'irai m'inscrire alors qu'aucun parti n'est convainquant et n'a pas encore prouvé qu'on pourrait leur faire confiance.D'autres qui sont passés à la télé ont cru qu'il fallait juste tirer sur le président. On connait ce qu'il n'a pas fait en 28 ans de pouvoir. Ce que nous voulons c'est que tous ces partis se démarquent." affirme Emmanuel, un étudiant en communication.
C'est la désinvolture totale pour ceux qui ont un choix à faire quant à celui qui dirigera le pays. "Tout ce qui nous reste à faire vu le manque de sincérité des partis, c'est de faire le tirage au sort quand on sera dans l'urne. Parce que le Cameroun est la terre des promesses et jamais de ses réalisations donc mon choix du futur président ne changera rien." confit Dominique , un marchant. Une fatalité qui s'est installée dans les esprits après les 28 ans au pouvoir du président "sortant". "Durant tous les mandats du président, la corruption et les détournements de fonds publics se sont installés, à tel point que s'est la méfiance qui règnent. maintenant nous les camerounais, nous savons que c'est l'argent qui intéresse tous ces gens et non le bien-être du Cameroun et de sa population." soutient un fonctionnaire.
Du côté d'une dizaine de camerounais rencontré, on vit dans l'attente du changement. "Nous voulons juste soutenir un candidat qui est de la personnalités et qui soit assez courageux pour soutenir et appuyer nos idéaux pour un Cameroun meilleur". Une idée qui tend à s'étendre chez les jeunes en pleine discutions dans les bars, devant les boutiques, dans la cour de leur maison,... ces derniers s'interrogeant sur un possible vent de la révolution au Cameroun.
Du côté des partis politiques, on multiplie les réunions et les concertations. Les partisans quant à eux multiplient les motions de soutient pour leur Candidat, et ou se discutent la tête de leur parti. Pour l'instant c'est le langage des sourds entre les candidats des partis politiques et la population. "j'espère juste qu'au mois de novembre un candidat sortira du lot. Parce que le Cameroun a besoin de se développer avec les Camerounais".
C'est la désinvolture totale pour ceux qui ont un choix à faire quant à celui qui dirigera le pays. "Tout ce qui nous reste à faire vu le manque de sincérité des partis, c'est de faire le tirage au sort quand on sera dans l'urne. Parce que le Cameroun est la terre des promesses et jamais de ses réalisations donc mon choix du futur président ne changera rien." confit Dominique , un marchant. Une fatalité qui s'est installée dans les esprits après les 28 ans au pouvoir du président "sortant". "Durant tous les mandats du président, la corruption et les détournements de fonds publics se sont installés, à tel point que s'est la méfiance qui règnent. maintenant nous les camerounais, nous savons que c'est l'argent qui intéresse tous ces gens et non le bien-être du Cameroun et de sa population." soutient un fonctionnaire.
Du côté d'une dizaine de camerounais rencontré, on vit dans l'attente du changement. "Nous voulons juste soutenir un candidat qui est de la personnalités et qui soit assez courageux pour soutenir et appuyer nos idéaux pour un Cameroun meilleur". Une idée qui tend à s'étendre chez les jeunes en pleine discutions dans les bars, devant les boutiques, dans la cour de leur maison,... ces derniers s'interrogeant sur un possible vent de la révolution au Cameroun.
Du côté des partis politiques, on multiplie les réunions et les concertations. Les partisans quant à eux multiplient les motions de soutient pour leur Candidat, et ou se discutent la tête de leur parti. Pour l'instant c'est le langage des sourds entre les candidats des partis politiques et la population. "j'espère juste qu'au mois de novembre un candidat sortira du lot. Parce que le Cameroun a besoin de se développer avec les Camerounais".
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