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Affichage des articles du novembre, 2012

Les journalistes face aux perdiems

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Ils sont nombreux ces hommes de médias qui, pour une couverture de cérémonie sont prêt à bagarrer pour une somme de 5000 à 10.000fCfa voir plus. Les perdiems ou encore les « gombos » sont des sommes remises à chaque médias pour une couverture d’évènement. De nos jours cette somme est revendiquée par les journalistes, qui vont jusqu’à l’exiger pour la parution ou la diffusion d’un événement dans leurs organes. Cette chasse médiatique à l’argent est de plus en plus connue par la société camerounaise. De ce fait certains journalistes sont appelés des hiltoniens. « Le mot hiltoniens est utilisé pour qualifier les journalistes qui passent leur journée à l’hôtel Hilton. Ils sont à la quête de diverses cérémonies pour avoir des perdiems. Ces journalistes se distinguent des autres car ils sont toujours à l’affût des 2000 ou 5000 francs Cfa que la cellule de communication d’une cérémonie pourra leurs offrir » souligne un passant. Selon un journaliste, ces personnes sont souvent qualifier de

Universités publiques au Cameroun: un frein au bon parcours académique ?

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Ils sont des milliers de camerounais qui, depuis plus de dix ans ne croient plus aux systèmes des universités publiques. Qu’elles soient celles de Yaoundé I (Ngoa Ekele) ou Yaoundé II (Soa), le calvaire estudiantin est présent. Le plus palpable et visible est l’éternel problème des notes donc les étudiants doivent faire face lors de résultats d’examens. « J’ai composé en physique et ma note n’est pas sortie, je suis obligé de faire une requête en espérant que cela va aboutir parce que le processus de réponse est très lent. Il faut courir après le professeur pour être sûr de voir ma note affichée » affirme un étudiant de Ngoa Ekele. Pour d’autres, c’est le nom qui n’est pas affiché pour plusieurs raison. « Mon nom n’est pas affiché au babillard. Lors de ma requête, on m’a dit au secrétariat que je ne suis pas inscrit, je viens de leur montrer mon reçu et il me disent de patienter ma note sera affiché. On n’a pas le choix il faut attendre et croiser les doigts » soutient Madeleine,

Manipulation de l'opinion publique: le cas libyen

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L’Afrique a depuis longtemps été sous le joug de puissances européennes et cette relation deviendra ambigüe au fil des temps. Les pays nordique de l’Afrique notamment la Lybie ont commencé peu à peu à se détacher de cette domination grâce d’une grande part au «guide libyen» Mouammar Kadhafi. Ce refus de s’associer ou de traiter avec l’occident lui créera des problèmes autant avec les États-Unis que le gouvernement français, qui le présentent comme un dictateur et le gouvernement libyen comme un régime. Ces techniques de déstabilisations s’intensifieront avec l’arrivée du printemps arabe en fin 2011. C’est ainsi que la France jouera avec l’opinion publique pour arriver à ses fins. Dans cette optique, posons-nous la question de savoir quels sont les éléments mis en œuvre pour faiblir l’opinion publique? Ou encore quels ont été les principaux points d’attaque des français? Ainsi les différentes techniques seront utilisées par le gouvernement français avec des principaux points d’attaque