Les élèves face à la fin des examens officiels
Ils sont plus d'un milliers d'élèves à composer le baccalauréat, le probatoire et le brevet d'étude du premier cycle (BEPC),mais chaque année le nombre de jeunes qui se dirigent dans les bars,discothèques et boîtes de nuit augmente considérablement (50% chaque année).
Plus d'une dizaine de bouteilles de bières, vins et whisky sont sur chaque table,les élèves remplissent au fur et à mesure ces endroits qui se trouvent à quelque pas des centres d'examen.
Dans ces lieux de "distractions", tout est vu en grand et l'objectif est de boire le plus d'alcools possibles. Pour tous ces élèves qui ont passés neuf mois sur les bancs de l'école, "rien n'est plus beau que de clôturer les examens par une fête" affirme un élève de terminale littéraire. Les jeunes sont les rois et leurs désirs sont réalisés. "Je ne peut pas entrer dans un bar ou il n'aura pas ce que je veux. l'essentiel pour moi, c'est la bière, les cigarettes et les filles. Quand ces trois choses sont réunis, je rentre à la maison le lendemain ou même après deux jours" affirme mathias, un élève de troisième.
Dans certain cas, les élèves vont jusqu'à réserver des bars pour pouvoir s'amuser. "le matin un élève est venu me voir pour avoir le bar à 10 heures après leurs épreuves facultatives. on s'est arrangé à 30000 Francs CFA et bientôt ils viendront l'occuper jusqu' au lendemain." affirme Madame Effa, la propriétaire d'une discothèque.
Ici, il n y a aucune restriction, les jeunes cherchent le plaisir et les propriétaire, barman, gérant trouvent leurs comptes. "je ne peut pas les chasser puisque c'est à la fin des examens que j'ai un grand bénéfice. Qu'ils soient mineurs ou majeurs, je m'en fou. je fais mon commerce." confie Gérome, un barman.
Dans toute cette ambiance, l'on remarque que de plus en plus de jeunes en classe de troisième sont poussés dans cette fête par rapport à leurs aînés de terminale et de première. D'après certains futur bacheliers, ce sont eux qui ont commencé à faire la fête après leur examen officiel pour signer la fin du secondaire. mais aujourd'hui les cadets de troisième les ont dépassé dans ces habitudes. "Je ne sais même pas ce que les cadets de troisième fêtent puisque même s'ils réussissent, ces derniers restent toujours au secondaires." confie Bertrand, un passant.
Toute cette fête se passe au vu et au su de tous sans que les autorités n'interviennent. Pendant ce temps, les jeunes continuent leur avancé vers la débauche. Pour l'instant le phénomène continue d'augmenter au Cameroun sous le regard impuissant des passants."Quand j'ai essayé de les chasser de ce bar, ils m'ont demandé qui j'étais pour leur interdire de boire" confit-il.
Plus d'une dizaine de bouteilles de bières, vins et whisky sont sur chaque table,les élèves remplissent au fur et à mesure ces endroits qui se trouvent à quelque pas des centres d'examen.
Dans ces lieux de "distractions", tout est vu en grand et l'objectif est de boire le plus d'alcools possibles. Pour tous ces élèves qui ont passés neuf mois sur les bancs de l'école, "rien n'est plus beau que de clôturer les examens par une fête" affirme un élève de terminale littéraire. Les jeunes sont les rois et leurs désirs sont réalisés. "Je ne peut pas entrer dans un bar ou il n'aura pas ce que je veux. l'essentiel pour moi, c'est la bière, les cigarettes et les filles. Quand ces trois choses sont réunis, je rentre à la maison le lendemain ou même après deux jours" affirme mathias, un élève de troisième.
Dans certain cas, les élèves vont jusqu'à réserver des bars pour pouvoir s'amuser. "le matin un élève est venu me voir pour avoir le bar à 10 heures après leurs épreuves facultatives. on s'est arrangé à 30000 Francs CFA et bientôt ils viendront l'occuper jusqu' au lendemain." affirme Madame Effa, la propriétaire d'une discothèque.
Ici, il n y a aucune restriction, les jeunes cherchent le plaisir et les propriétaire, barman, gérant trouvent leurs comptes. "je ne peut pas les chasser puisque c'est à la fin des examens que j'ai un grand bénéfice. Qu'ils soient mineurs ou majeurs, je m'en fou. je fais mon commerce." confie Gérome, un barman.
Dans toute cette ambiance, l'on remarque que de plus en plus de jeunes en classe de troisième sont poussés dans cette fête par rapport à leurs aînés de terminale et de première. D'après certains futur bacheliers, ce sont eux qui ont commencé à faire la fête après leur examen officiel pour signer la fin du secondaire. mais aujourd'hui les cadets de troisième les ont dépassé dans ces habitudes. "Je ne sais même pas ce que les cadets de troisième fêtent puisque même s'ils réussissent, ces derniers restent toujours au secondaires." confie Bertrand, un passant.
Toute cette fête se passe au vu et au su de tous sans que les autorités n'interviennent. Pendant ce temps, les jeunes continuent leur avancé vers la débauche. Pour l'instant le phénomène continue d'augmenter au Cameroun sous le regard impuissant des passants."Quand j'ai essayé de les chasser de ce bar, ils m'ont demandé qui j'étais pour leur interdire de boire" confit-il.
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