Les vols à la tire envahissent les marchés
Depuis quelques mois, ce procédé est de plus en plus visible dans les lieux de commerces de la ville de Yaoundé.
Tapis dans l’ombre ou dans les coins stratégique des marchés et agissant dans la plus part des cas au vu de tous, les voleurs à la tire sillonnent les lieux et dérobent aux personnes, des sacs à main, porte monnaie ou porte feuille et plein d’autres objets dans la mesure du possible. Dans les marchés ont les connaît mais personne n’ose les dénoncer. «Je ne peut rien dire sur eux. Ils sont tellement plein dans le marché que cela sera difficile de les faire partir.» confie Madeleine, une vendeuse de sous vêtements, au marché centrale.
Ils procèdent de manières minutieuses dans tous leurs agissements. «Je ne les pas sentie arriver. Quelqu’un m’a juste bousculer, et quand je suis rentré à la maison, j’ai fouillé mon sac, mon porte-monnaie avait disparue avec 15000fcfa et ma carte d’identité» affirme Véronique, une étudiante, qui se trouvait au marché de Mokolo. Pour d’autres, la situation est différente. Selon Yannick, ces voleurs fouillent souvent tes sans qu’on s’en rende compte. C’est plus tard que tu constate que tes poches sont déchirées et vide.
Dans d’autres cas, ils viennent en groupe de deux ou trois te distraire pendant que tu achète une marchandise et c’est en grande majorité lors des achats de vêtements ou chaussures. Ces voleurs profitent aussi des jeux dont ils organisent. «Une fois, je suis allé jouer au «Taper taper », un jeu du hasard, ils ont profité de la foule pour voler presque toutes les personnes présentent. On n’a arrêté quelques uns qui nous ont remboursé mais les autres avaient déjà fuis.» confie Bertrand, lors d’une causerie en groupe.
Ce phénomène qui est réputé dans le marché centrale et MoKolo, ne surprend plus les habitués, clients comme commerçants. «On sait qu’ils sont parmi nous et c’est même parfois des amis quant ils sont de bonne humeur.» affirme Gérard, un commerçant. Selon lui, il faut juste être vigilant quand on vient au marché. Pour ceux que l’on reconnaît parmi ces voleurs à la tire, il est difficile de les dénoncer sans en payer le prix puisqu’ils agissent en groupe et se soutiennent mutuellement. «Quand tu les identifie, le mieux est de faire d’eux tes amis, au cas contraire, ils te dépouilleront et ça tourne souvent à la bagarre où ils sortent parfois des lames, couteaux ou taisons de bouteille » confit-il.
Dans les marchés, chacun vaque à ces occupations tout en contrôlant ses marchandises et en serrant bien son sac à main sur le corps, priant pour ne pas être la prochaine victime de ces voleurs à la tire.
Tapis dans l’ombre ou dans les coins stratégique des marchés et agissant dans la plus part des cas au vu de tous, les voleurs à la tire sillonnent les lieux et dérobent aux personnes, des sacs à main, porte monnaie ou porte feuille et plein d’autres objets dans la mesure du possible. Dans les marchés ont les connaît mais personne n’ose les dénoncer. «Je ne peut rien dire sur eux. Ils sont tellement plein dans le marché que cela sera difficile de les faire partir.» confie Madeleine, une vendeuse de sous vêtements, au marché centrale.
Ils procèdent de manières minutieuses dans tous leurs agissements. «Je ne les pas sentie arriver. Quelqu’un m’a juste bousculer, et quand je suis rentré à la maison, j’ai fouillé mon sac, mon porte-monnaie avait disparue avec 15000fcfa et ma carte d’identité» affirme Véronique, une étudiante, qui se trouvait au marché de Mokolo. Pour d’autres, la situation est différente. Selon Yannick, ces voleurs fouillent souvent tes sans qu’on s’en rende compte. C’est plus tard que tu constate que tes poches sont déchirées et vide.
Dans d’autres cas, ils viennent en groupe de deux ou trois te distraire pendant que tu achète une marchandise et c’est en grande majorité lors des achats de vêtements ou chaussures. Ces voleurs profitent aussi des jeux dont ils organisent. «Une fois, je suis allé jouer au «Taper taper », un jeu du hasard, ils ont profité de la foule pour voler presque toutes les personnes présentent. On n’a arrêté quelques uns qui nous ont remboursé mais les autres avaient déjà fuis.» confie Bertrand, lors d’une causerie en groupe.
Ce phénomène qui est réputé dans le marché centrale et MoKolo, ne surprend plus les habitués, clients comme commerçants. «On sait qu’ils sont parmi nous et c’est même parfois des amis quant ils sont de bonne humeur.» affirme Gérard, un commerçant. Selon lui, il faut juste être vigilant quand on vient au marché. Pour ceux que l’on reconnaît parmi ces voleurs à la tire, il est difficile de les dénoncer sans en payer le prix puisqu’ils agissent en groupe et se soutiennent mutuellement. «Quand tu les identifie, le mieux est de faire d’eux tes amis, au cas contraire, ils te dépouilleront et ça tourne souvent à la bagarre où ils sortent parfois des lames, couteaux ou taisons de bouteille » confit-il.
Dans les marchés, chacun vaque à ces occupations tout en contrôlant ses marchandises et en serrant bien son sac à main sur le corps, priant pour ne pas être la prochaine victime de ces voleurs à la tire.
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