6ème Assemblée des handicapés: Clôture sur une note d’espoir
Après deux jours de débats, les étudiants handicapés clôturent l’assemblée sur les différentes recommandations adressée à l’endroit du gouvernement, et au coordinateur des associations des étudiants handicapés des universités du Cameroun (CAEHCAM).
Stylos en main, regards fixés sur les orateurs et prenant la parole de temps en temps, Plus d’une trentaine d’étudiants handicapés ont répondu présents à l’appel de la CAEHCAM. C’est en présence du recteur de l’université de Yaoundé I, monsieur Bouba Oumarou et celui de Yaoundé II, monsieur Jean tabi Manga; et de quelques orateurs, que le thème de l’assemblée: «l’intégration de l’approche handicap dans le système LMD: Evaluation à mi- parcourt» a été débattu.
Les ateliers ont débuté par un élément du thème: «La professionnalisation des enseignants au service des étudiants handicapés: mythe ou réalité?». Selon Moïse Ekeuh, ancien secrétaire national de la coordination, l’intégration de l’approche handicap doit se faire d’abord entre enseignants et étudiants handicapés. «Il faut sensibiliser les enseignants et les étudiants handicapés et pousser ces derniers à coopérer et que l’étudiant handicapés puissent passer une meilleure année estudiantine.» souligne-t-il.
Pour la CAEHCAM, l’objectif de cette assemblée est de favoriser la collaboration entre eux et les étudiants handicapé pour être au courant des problèmes rencontrés dans les différentes universités; sensibiliser les enseignants et les étudiants handicapés pour un rapprochement qui permettra au bon suivi de l’apprentissage de ses derniers. La promotion et la valorisation de l’étudiant handicapé.
Pour d’autres étudiants, le gouvernement devrait faire appliquer la loi sur les handicapés. «Même si les efforts ont été faits dans certains domaines par le gouvernement, la loi d’application ne suit pas la loi de promotion et de protection de la personne handicap.» affirme Patrick Assam Ossogo, secrétaire de générale de l’assemblée des étudiants handicapés. Pour tous ces étudiants présents, il faudrait mettre sur pied toutes les mesures d’accompagnement pour être au même niveau que les autres étudiants.
À la sortie de cette assemblée, tous attendent une réponse du Gouvernement. «On espère que nos doléances sur l’application des dispositions de la loi N° 2010/002 du 13 avril 2010 portant protection et promotion des personnes handicapées soit effective et appliquer; et que lors de la journée de la personne handicapé, le 3 décembre nous n’aurons plus à nous en inquiété.» affirme le secrétaire général de l’AEH.
Stylos en main, regards fixés sur les orateurs et prenant la parole de temps en temps, Plus d’une trentaine d’étudiants handicapés ont répondu présents à l’appel de la CAEHCAM. C’est en présence du recteur de l’université de Yaoundé I, monsieur Bouba Oumarou et celui de Yaoundé II, monsieur Jean tabi Manga; et de quelques orateurs, que le thème de l’assemblée: «l’intégration de l’approche handicap dans le système LMD: Evaluation à mi- parcourt» a été débattu.
Les ateliers ont débuté par un élément du thème: «La professionnalisation des enseignants au service des étudiants handicapés: mythe ou réalité?». Selon Moïse Ekeuh, ancien secrétaire national de la coordination, l’intégration de l’approche handicap doit se faire d’abord entre enseignants et étudiants handicapés. «Il faut sensibiliser les enseignants et les étudiants handicapés et pousser ces derniers à coopérer et que l’étudiant handicapés puissent passer une meilleure année estudiantine.» souligne-t-il.
Pour la CAEHCAM, l’objectif de cette assemblée est de favoriser la collaboration entre eux et les étudiants handicapé pour être au courant des problèmes rencontrés dans les différentes universités; sensibiliser les enseignants et les étudiants handicapés pour un rapprochement qui permettra au bon suivi de l’apprentissage de ses derniers. La promotion et la valorisation de l’étudiant handicapé.
Pour d’autres étudiants, le gouvernement devrait faire appliquer la loi sur les handicapés. «Même si les efforts ont été faits dans certains domaines par le gouvernement, la loi d’application ne suit pas la loi de promotion et de protection de la personne handicap.» affirme Patrick Assam Ossogo, secrétaire de générale de l’assemblée des étudiants handicapés. Pour tous ces étudiants présents, il faudrait mettre sur pied toutes les mesures d’accompagnement pour être au même niveau que les autres étudiants.
À la sortie de cette assemblée, tous attendent une réponse du Gouvernement. «On espère que nos doléances sur l’application des dispositions de la loi N° 2010/002 du 13 avril 2010 portant protection et promotion des personnes handicapées soit effective et appliquer; et que lors de la journée de la personne handicapé, le 3 décembre nous n’aurons plus à nous en inquiété.» affirme le secrétaire général de l’AEH.
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