Relations publiques: Le combat pour une image positive de l’Afrique
Les
professionnels des relations publiques tablent pour une meilleure gestion de
crise en Afrique, à l’occasion de la 27e conférence de l’Association
Africaine des relations publiques (Apra).
Relations publiques: pour le bien-être collectif |
C’est dans l’optique
d’étudier «les tendances évolutives de l’Afrique, face aux enjeux de l’heure et
à l’impératif de gestion d’une image positive et d’une maîtrise réussie des
situations de crise», que s’est ouvert cette 27e conférence annuelle
sous fonds de célébration du 40e anniversaire de l’Apra.
Réunir pendant trois
jours l’ensemble des secteurs d’activités liés à la communication pour
promouvoir la pratique des relations publiques, la multiplicité de ses moyens
et services, les outils de techniques des informations et communications qui y
sont liés. Tel est l’un des points forts d’échanges entre les experts des
relations publiques réunis dans la salle de conférence de l’hôtel La Falaise. «La conférence vise à mettre ensemble les
professionnels des relations publiques afin qu’il y ait un partage d’expertise
et de ce fait, que cela booste les relations publiques en Afrique» affirme
Leonel Tousse, commissaire de l’évènement.
Ces derniers entendent
ainsi mettre en lumière le secteur de la communication au Cameroun et donner la
preuve que la pratique des relations publiques se modernise et se positionne
comme un besoin fondamental aux us professionnels, au développent
socioéconomique et à l’instauration d’un climat de paix. «L’Afrique de manière général est perçue à travers un prisme qui
travestie la réalité, ou un prisme qu’utilise ceux qui veulent perpétrer
l’impérialisme sur l’Afrique. C’est donc à ce moment précis que les relations publiques
doivent revêtir tout leur intérêt, et se mettre résolument au service de notre
bien-être collectif en Afrique» précise Issa Tchiroma, ministre de la
communication.
Quelques participants réunis |
Une conférence qui
intervient à l’heure où le secteur des relations publiques tarde à émerger en
Afrique en général et au Cameroun en particulier. «Nous sommes dans un secteur qui est encore très peu et mal connus, et
qui a du mal à être réglementé. Il y a beaucoup à faire principalement dans les
pays francophones. Et nous demandons au ministre d’y jeter un coup d’œil afin
qu’ensemble nous puissions participer au développement de l’Afrique»
souligne Leonel Tousse.
Selon le ministre de la communication, c’est
l’occasion pour l’Afrique, de tirer profit d’un tel outil, pour d’une part
promouvoir ses atouts et ses potentialités, véhiculer une image plus juste de
sa consistance réelle vers l’extérieur, et d’autre part fédérer ses ressources
et ses énergies en interne, afin d’agir avec efficacité et de peser d’un poids
déterminant sur les enjeux politiques et économiques mondiaux.
Au regard des crises
que traverse le continent africain, les trois quarts des thèmes exposé penchent
sur la gestion de la communication de crise.
Ah ma soeur chérie c'est bien de nous informer des blablabla de ces hommes et femmes qui ont perdu le sens des réalités, de discernement entre leurs paroles et des actions concrètes pour le bien être de tous. C'est beau de redorer son image à l'extérieur mais c'est mieux d'agir à l'intérieur. I hope so les aînés voudrons laisser leurs places à la jeunesse, à des personnes comme toi, plein d'énergie, de volonté de d'enthousiasme
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